Tu piétines la vie, lourd chagrin. Des pas incertains, tôt le matin. Tu humes l'espoir, étrange refrain Divaguant à la recherche d'une main.
Le solitaire assourdi, fatigue insolente. Tu résistes malgré une douleur délirante. Un visage crispé, la lointaine pente. Crier le vide absolu, brise embêtante.
L'outarde jappe sa liberté victorieuse. Enfin un sourire, des notes vaporeuses. Vouloir s'élever, pensées non douteuses. L'Épervier heureux, vie doucereuse.
Revenir à la réalité, le poing charmant. Combler sa satisfaction, être décent. Vivre le pourquoi, couler ce sang. Attendre, digérer d'autres instants… |