| Un verdâtre qui s'effiloche au gré du vent. La solitude, la beauté doucereuse s'envole. Il y a un arrêt subtil, une pensée morose. Néanmoins des couleurs variées égaient nos cœurs. De l'espoir en cette vie discordante.
Un verdâtre qui s'ennuie par sa nudité. Nos mains gercées, nous voilà figé. Un vent volage, frisquet autour de soi. Plénitude d'un matin discret. Sourire secret, les feuilles tombent…
Un verdâtre disparaît, quelques larmes. Et marche le maladif sans rien y comprendre. Foulard protégeant cette triste réalité.
André, épervier
Douce plume, guide ma main dans tes folles aventures... |