| Ma peine est seule quand Poésie, langage des dieux, s'immisce; y a-t-il eu des temps heureux?
Je te pleure quand Beauté, d'un statuaire gracieux, s'exhale? que sais-je de l'invisible?
Nous nous consumons d'inquiétude quand Amour, réel et merveilleux, s'incarne; pourquoi chaque jour est-il une survie?
Nos accablements sont irrémédiables quand Savoir, qui transforme l'état miraculeux, s'accroit; avant de mourir aurons-nous contempler les âmes?
Notre souffrance infinie appelle à l'aide quand Conscience, idéal des preux, s'illumine : comment faire un peu de place au bonheur? |